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FRENCH 79 – 1979

Electro aux beats hypnotiques et aux nappes bien planantes pour ce mood of the day… Une invitation au dancefloor qu’on ne pouvait pas louper pour finir Dour en beauté… ❤

Aaaaaaaah, quel bonheur de retrouver à Dour French 79, aka Simon Henner, musicien, producteur et chanteur marseillais bien connu des amateurs d’électro frenchy bien ficelée, en tant que membre du trio Nasser (mood of the day du 20 novembre 2013), de Husbands (mood of the day du 25 novembre 2015) puis en solo depuis quelques mois. En octobre on découvrait son premier album, l’excellent Olympic sorti chez Alter K (mood of the day du 31 octobre 2016), quelques semaines plus tard il nous faisait vibrer sur la scène de l’Aéronef à Lille avec un live qui nous avait déjà fait danser du début à la fin, donc il était inconcevable de le louper lors de son passage à Dour sous le chapiteau du Labo, d’autant plus qu’il clôturait le festival à une petite demi-heure près.

Après avoir dansé et sautillé en non-stop sur les différentes scènes du festival, d’abord sur la musique de Charlotte de Witte, de Solomun – qui officiaient tous deux sur la Redbull Elektropedia Balzaal, véritable seconde Main Stage de Dour dédiée aux amoureux de musique électronique – puis sur l’électro pop punchy de Metronomy et sur les belles expérimentations électroniques de Carl Craig et de Jon Hopkins dans la Petite Maison dans la Prairie, on s’est hâtés de rejoindre la scène principale pour le live impeccable de Justice, puis on est repasser par la Redbull Elektropedia Balzaal pour Kölsch, avant de rejoindre la scène du Labo, à l’autre bout du site, où la magie de French 79 avait déjà opéré…

Les jambes en compote mais toujours le sourire béat et des étoiles plein les yeux, on a tout donné et on s’est littéralement régalé… Tout comme French 79 himself qui n’avait pas très envie de partir non plus apparemment. Normal vu l’ambiance de dingue qui régnait sous le chapiteau. Notre dernier live du festival mais quel live!!! Le public de Dour ne s’y est pas trompé et a longuement ovationné le marseillais avant que les lumières ne se rallument. Une heure c’est toujours trop court surtout quand c’est aussi bon… : )

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