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YULA KASP – Conscious

Ambiance dark et hypnotique sur des images désinvoltes au doux parfum d’été pour ce mood of the day… Une virée électronique aux accents rock et new wave terriblement entêtants… ★

Une personnalité aussi atypique qu’attachante, un parcours qui l’est tout autant, une voix grave et envoûtante, des mélodies hypnotiques rehaussées de paroles sombres et prenantes, l’univers de Yula Kasp, alias Julia Kasprzak, ne manque pas d’atouts pour vous happer en douceur. Née en Pologne, arrachée à son pays à l’âge de 8 ans pour suivre ses parents, en France d’abord, puis au Canada, l’artiste aujourd’hui basée à Paris a du apprendre à s’adapter aux aléas de la vie, tout en ne perdant jamais de vue son potentiel et son instinct créatifs.

C’est ainsi qu’après avoir évolué quelques années dans des bureaux pour la télé ou le cinéma, la jeune polonaise, qui écrit des poèmes depuis ses 10 ans et compose des mélodies depuis qu’elle en a 20, a finalement sauté le pas, rattrapée par son besoin viscéral de créer. En 2011, elle publie Spacer, projet intimiste à travers lequel elle met en musique et chante dans sa langue natale une série de poème pleins d’espoir et d’optimisme écrits par sa grand-mère. Un héritage et une transmission très personnelle qui la conforte dans ses choix musicaux, et qui débouche aujourd’hui tout naturellement sur la sortie de son mini-album de 5 titres, Ocean Blues, paru le 18 mars via Kill The DJ, le fameux label électro fondé en 2005 par Fany Corral, Stéphanie Fichard, Ivan Smagghe et Chloé Thévenin (mood of the day du 31 décembre 2015).

A la prod’ on retrouve son ami de longue date Pilooski, alias Cédric Marszewski, sound-designer et musicien parisien vite devenu par la force des choses et de son talent producteur, DJ et remixeur de renom, et qui signe d’ailleurs l’un des remixes annoncés sur la sortie vinyle d’Ocean Blues à paraître fin avril, aux côtés de Rebolledo, moitié des Pachanga Boys et copain de Yula, pour qui elle a notamment réalisé le clip de Guerrero en 2009, en plus d’autres vidéos imaginées pour Matias Aguayo ou La Chatte. Quant au clip joliment teinté de nostalgie de Conscious, tourné en 2013 dans un petit village de France, il est signé Simone Gilges, photographe allemande et amie elle aussi de la chanteuse et compositrice parisienne.

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